impérialiste - sioniste réactionnaire islamiste terroriste croisade!

Mohammed Mohamed Fakkak
2015 / 12 / 17

Khouribga – la république démocratique progressiste socialiste avant – garde du plus grand épervier révolutionnaire international Mohammed ibn Abdel Karim el khattabi.
Le 16.12.2015.
« Pour Une république matriarcale, familiale, sociale révolutionnaire dans laquelle la femme a un rôle décisionnel prépondérant au sein d’un état, d’une société, d’une communauté, d’une famille ».
La voie démocratique républicaine la plus radicale fondamentale, révolutionnaire socialiste sur les causes profondes, avant – garde indépendante.
Abu el Mehdi ibn Asahara ibn Asahara ibn Abdel mati ibn el Hassan ibn Salah ibn Tahar Mohammed Mohamed Fakkak.
Femmes marocaines dominantes :
Jusqu’à quand accepterez – vous ces conditions d’esclaves ? Toutes les femmes dominées, opprimées se battent contre les anciennes formes d’esclavagisme, car il est impossible pour des femmes marocaines supérieures, suprêmes nobles libres et en même temps d’accepter passivement le primat naturel de la race royale islamiste obscurantiste.
Les femmes, les hommes et tout le peuple marocain doivent combattre, lutter aujourd’hui et non demain contre cette religiosité politique raciste fasciste croisade, pour la reconnaissance réelle de leur égalité avec les hommes et de leur authenticité, originalité culturelle.
Les femmes, après avoir accepté pendant des millénaires leur infériorité, leur indignité, leur inégalité, leur inhumanité comme naturelle, découvrent aujourd’hui le caractère historique et oppresseur de la civilisation masculine patriarcale autocratique théologique relatif à un trône royal patriarcal qui rappelle l’autorité, la simplicité, les mœurs paisibles des anciens tribus juives, réactionnaires préhistoires. Alors aujourd’hui les femmes s’organisent pour leur libération. Elles déclarent aujourd’hui bien souvent un refus global contre le régime royal colonialiste impérialiste –sioniste. Elles annoncent un conflit total, un nouveau choix de société, une avancée de la conscience collective qui découvre leur vocation à la liberté, et arrachent du terrain ce maudit immuable régime royal islamiste, et instaurent un régime républicain matriarcal démocratique progressiste avant – garde prolétaire révolutionnaire socialiste qui d’ailleurs profondément cohérent avec la révolution philosophique scientifique et technologique industrielle moderne, qui en assurant à la femme ,à l’homme une empire sans précédant, sur la nature et sur l’histoire, lui ouvre tout un nouveau champ de possibles. Car l’espérance, l’avenir ne sont pas seulement à construire : ils sont à inventer »
« Le combat contre l’aliénation royale islamiste- patriarcale- autocratique théologique terroriste tyrannique obscurantiste réactionnaire est donc une tache essentielle du mouvement révolutionnaire, et son importance sera particulièrement forte dans notre pays
Où le rôle politique – économique –sociale des femmes son plus marqué. »
Or, tant qu’une guerre de religion déclarée, menée par Les chiens de garde islamistes terroristes régressifs, répulsifs réactionnaires, cette guerre qu’elle apparait inévitablement une guerre plus terroriste que toutes les guerres criminelles américaines impérialistes – sionistes contre toutes l’humanité. Cette guerre royaliste – islamiste qui vise l’élimination de la nouvelle perception du rôle spécifique de révolution énergique des femmes comme telles, des jeunes filles, des jeunes garçons, du peuple marocain.
Le régime royal dictateur et ces bandes croisades islamistes – terroristes veulent résolument écarter la femme, refusent la reconstitution des femmes militantes multiples révolutionnaires citant les femmes pour le socialisme.
C’est ainsi que la conscience matriarcale marocaine, la révolution matriarcale a marqué un grand tournant stratégique et déterminé.
Femmes marocaines, hommes marocains :
Ces femmes en esclaves opprimées, dominées sous les jougs de l’ère des croisades royalistes islamistes, sont vos mères, vos femmes, vos bien- aimées, vos filles. Il faut les libérer, les aider pour terminer, écraser, effacer cette guerre en croisés, il faut commencer un changement révolutionnaire radical qui ne sera pas seulement un changement important dans l’histoire politique matériel réel du Maroc, mais dans celle de l’islam spirituel. » Car changer un régime royal étranger dictateur raciste fasciste autocratique totalitariste, colonialiste, impérialiste – sioniste, c’est automatiquement changer le sens de son islamisme médiéval -orthodoxe –mytho-idéologique terroriste anti- humaniste, c’est – à – -dir-e faire les grandes ruptures intellectuelles, critiques culturelles, scientifiques, institutionnelles imposées par la modernité, fécondées par toutes les connaissances philosophiques démocratiques progressistes de notre temps.. « Voilà des dévoilements qui permettent d’approfon-dir- et d’étendre les combats contre ces chiens, ces ânes, ces mules, ces poux, ces animaux, ces barbares - anti- humanistes contemporains qui sont intolérables de lier au seul terrorisme international qui, déchiffré dans la perspective de la quête humaniste indissociables de la longue durée. »
Alors femmes marocaines musulmanes. Enlèvent vos voiles, montrent à tous vos traits de vos liberté, égalité, humanité, beauté. Cette voile étrangère est certainement une expression réactionnaire, marquée par les fonds des âges coloniaux contre les luttes de libération de la conscience de la femme ( que l’on pourrait appeler socio- psychologique- économico – politique, sexualité qui concerne l’ensemble de structures de la conscience et de l’inconscient collectifs de la femme ».
Alors la libération apparait aujourd’hui comme prioritaire pour jeter toute couverture, toute légitimation sur le visage du régime royal islamiste plus terroriste plus accentué plus en croisée, un visage à la noirceur des corbeaux, des hiboux.
La révolution -print-anière marocaine arabe démocratique du 20 février n’est nullement terminée. La femme marocaine dès aujourd’hui n’exécute plus jamais de décisions prises par les traitres royaux islamistes, et ne travaillent pas au profit des princes alaouites
Qu’est que l’éducation patriarcale libératrice dans une optique révolutionnaire ? retrouver une nouvelle société révolutionnaire, il nous faut une théorie révolutionnaire de l’éducation, un combat global à l’intérieur d’un régime néo- capitaliste, néo- colonialiste, autocratique, patriarcal, théologique, islamiste – terroriste, obscurantiste, raciste fasciste, tyrannique despote réactionnaire dictateur, anti- nationaliste, anti- démocratique, anti – populaire, anti- humaniste.
Dès lors, les fronts, les voies, les partis, les mouvements, les organisations des femmes libératrices révolutionnaires sont tous ceux
Où les classes, les masses, et les peuples opprimés se battent pour leur libération, leur indépendance, leur dignité, leur volonté, leur souveraineté, leur humanité.
il est vrai, en effet, que la libération politique, économique – sociale, culturelle, éthique, morale, consciencieuse religieuse de la femme est la plus dimension radicale fondamentale de la libération de tout le peuple marocain. Alors tout le peuple doit combattre pour la liberté, doit vivre, doit faire face contre les bourreaux royaux et islamistes terroristes dominants, doit lutter contre toutes les obstacles que la révolution rencontre sur son chemin, doit rechercher sa foi, sa voix son conscience, son âme, doit couvrir et exprimer les virtualités.
La femme marocaine vaincra. La femme n’a pas qu’une tache fondamentale et finale, c’est de façonner ce régime royal dominant qui règne, asservit le peuple.. A bas le régime royal barbare sauvage théologique autocratique réactionnaire !
Le discours du dictateur : Mahmoud Darwich for ever

Certes, elles n’ont plus aujourd’hui l’aura qu’elles avaient encore il y a quelques années… Mais il est tout de même étonnant de constater que les grandes voix poétiques arabes se tiennent à distance, très critique, des soulèvements arabes. Au Bahreïn, Qassim Haddad, auteur avec Amin Saleh en 1984 d’un manifeste qui fut une véritable « révolution » poétique, n’est guère sorti de son silence que pour condamner, au tout début des événements, les excès des révolutionnaires (référence en arabe). Réticent vis-à-vis de ce qu’on appelle le « -print-emps arabe », Adonis l’est encore plus par rapport à « ce qui se passe en Syrie et qu’on appelle révolution [et qui] n’en est pas une. Il se passe des choses contraires au principe même d’une révolution. » Mais c’est encore « le dernier communiste », l’Irakien Saadi Youssef, qui est le plus cruel avec son poème se moquant des poules caquetant « -print-emps arabe, -print-emps arabe ! »
Qu’aurait pensé de tout cela Mahmoud Darwich, disparu au début du mois d’août, il y a cinq ans déjà ? Quel parti aurait-il pris dans ces soulèvements qui laissent si peu de place, en apparence du moins, à la question palestinienne ? La réponse se trouve dans les écrits qu’il a laissés, et dans les lectures qu’ils susciteront, longtemps encore. Certains textes plus que d’autres, à certains moments et dans certaines circonstances.
Ces Discours versifiés du dictateur (ÎõØÈ ÇáÏíßÊÇÊæÑ ÇáãæÒæäÉ) en particulier. Composés à Paris entre 1986 et 1987 pour la revue Al-Yawm al-sâbi’, ils dénonçaient une situation politique qui pouvait caractériser plus d’un pays arabe, même si le régime syrien s’était alors senti visé au point que ces poèmes n’y circulaient que sous le manteau… A cause de ce vers, peut-être, trop évocateur de la base clanique et confessionnelle du pouvoir des Assad ? « Je vous choisirai, un à un, de la lignée de ma mère, de ma doctrine… »ÓÃÎÊÇÑßã¡æÇÍÏÇð æÇÍÏÇð¡ ãä ÓáÇáÉ Ããì æãä ãÐåÈí
Publiés dans de rares numéros de revue (Al-Karmel – nouvelle série – en 2011 par exemple) ou encore sur des sites Internet comme celui du quotidien égyptien Al-Watan, ces poèmes viennent de connaître leur première véritable édition(illustration du haut) par une maison d’édition de Haïfa, Al-Râya, en partenariat avec la Fondation Mahmoud Darwich.
Grâce à l’aide amicale de Houda Ayoub, je vous propose la traduction du premier de ces huit « textes/poèmes » ! Le texte a été édité le mieux possible, en fonction des différentes versions disponibles sur la Toile et donc légèrement différent par rapport à la lecture qu’en donne – vidéo à la fin du billet – le poète lui-même. Sa récitation, où se devine sa moquerie amère de l’enflure verbale des dictateurs d’hier et d’aujourd’hui, est introduite ainsi : Extraits du discours du dictateur arabe qui m’a chargé de l’écrire pour lui, et en son nom…)

ÎØÇÈ ÇáÌáæÓ – Discours de l’accession au trône
ÓÃÎÊÇÑ ÔÚÈí
Je choisirai mon peuple
ÓÃÎÊÇÑ ÃÝÑÇÏ ÔÚÈí
Je choisirai les personnes de mon peuple
ÓÃÎÊÇÑßã¡ æÇÍÏÇð æÇÍÏÇð¡ ãä ÓáÇáÉ Ããì æãä ãÐåÈí
Je vous choisirai, un à un, de la lignée de ma mère, de ma doctrine
ÓÃÎÊÇÑßã ßì ÊßæäæÇ ÌÏíÑíä Èí
Je vous choisirai afin que vous soyez dignes de moi
ÅÐä¡ ÃæÞÝæÇ ÇáÂä ÊÕÝíÞßã ßì ÊßæäæÇ ÌÏíÑíä Èí
Alors, arrêtez maintenant d’applau-dir- afin que vous soyez dignes de moi…
æÈÍÈí
De mon amour.
ÓÃÎÊÇÑ ÔÚÈì ÓíÇÌÇð áããáßÊì¡ æÑÕíÝÇð áÏÑÈí
Je choisirai mon peuple, comme une enceinte à mon royaume, comme un bas-côté à mon chemin
ÞÝæÇ ÃíåÇ ÇáäÇÓ ÃíåÇ ÇáãäÊÞæä ßãÇ ÊäÊÞì ÇááÄáÄÉ
Debout, vous que j’ai triés comme on le fait de perles !
áßá ÝÊì ÇãÑÃÉ
À-;- chacun une promise
æááÒæÌ ØÝáÇä Ýì ÇáÈÏÁ íÃÊì ÇáÕÈí
À-;- chaque couple deux enfants, le garçon en premier
æÊÃÊì ÇáÕÈíÉ ãä ÈÚÏ áÇ ËÇáË æáíÚã ÇáÛÑÇã
La fille par la suite, sans troisième, et que prospère l’amour…
Úáì ÓäÊì¡ ÝÃÍÈæÇ ÇáäÓÇÁ æáÇ ÊÖÑÈæåä
Selon ma loi ! Alors, aimez les femmes et ne les frappez point…
Åä ãÓåä ÇáÍÑÇã
si quelque impureté vient à les toucher
ÓáÇã Úáíßã ÓáÇã ÓáÇã
Que la paix soit sur vous !
ÓÃÎÊÇÑ ãóä íÓÊÍÞ ÇáãËæá ÃãÇã ãÏÇÆÍ ÝßÑí
Je choisirai celui qui méritera de comparaître devant les louanges de ma pensée
æãä íÓÊÍÞ ÇáãÑæÑ ÃãÇã ÍÏÇÆÞ ÞÕÑí
Celui qui méritera de passer devant les jardins de mon palais
ÞÝæÇ¡ ÃíåÇ ÇáäÇÓ Íæáí ÎÇÊã
Tenez-vous tous autour de moi comme une auréole
áäÕáÍ ÓíÑÉ ÍæÇÁ äÕáÍ ÃÍÝÜÇÏ ÂÏã
Pour que nous révisions la destinée d’È-;-ve, la destinée des descendants d’Adam
ÓÃÎÊÇÑ ÔÚÈÇð ãÍÈÇð¡ æÕáÈÇð¡ æÚÒÈÇð
Je vous choisirai, peuple aimant, solide et doux
ÓÃÎÊÇÑ ÃÕáÍßã ááÈÞÇÁ æÃäÌÍßã Ýì ÇáÏÚÇÁ áØæá
Je choisirai celui d’entre vous qui sera le plus apte à rester, le plus habile à souhaiter longue vie
ÌáæÓí
à mon trône
ÝÊÈÇð áãÇ ÝÇÊ ãä Ïæáò ãÒÞÊåÇ ÇáÒæÇÈÚ
Au diable les É-;-tats qu’ont déchirés les tempêtes
áÞÏ ÖöÞÊ ÐóÑÚÇð ÈÃãíÉ ÇáäÇÓ¡ íÇ ÔÚÈ íÇ ÔÚÈì ÇáÍÑ
Je me suis lassé de cette ignorance des gens ! Peuple ! Ô-;- mon peuple libre
ÝÇÍÑÓ
Alors, soit le gardien…
åæÇÆí ãä ÇáÝÞÑÇÁ¡ æÓÑÈ ÇáÐÈÇÈ æÛíã ÇáÛÈÇÑ
De l’air que je respire, contre les pauvres, les essaims de mouches, les nuages de poussière
æäÙøöÝ ÏÑæÈ ÇáãÏÇÆä ãä ßá ÍÇÝò¡ æÚÇÑò¡ æÌÇÆÚ
Nettoie les chemins des cités, des va-nu-pieds, des miséreux, des affamés
ÝÊÈÇð áåÐÇ ÇáÝÓÇÏ¡ æÊÈÇð áÈÄÓ ÇáÚÈÇÏ ÇáßÓÇáì
Au diable la corruption, au diable la misère des créatures oisives
ÓÃÎÊÇÑ ÔÚÈÇð ãä ÇáÃÐßíÇÁ¡ ÇáæÏæÏíä¡ æÇáäÇÌÍíä
Je choisirai un peuple fait de personnes intelligentes, aimantes, brillantes
æÊÈÇð áæÍá ÇáÔæÇÑÚ
Au diable la boue des chemins
ÓÃÎÊÇÑßã æÝÞ ÏÓÊæÑ ÞáÈí
Je vous choisirai selon la charte de mon cœur
Ýãóä ßÇä ãäßã ÈáÇ ÚáÉò Ýåæ ÍÇÑÓ ßáÈí
Et celui qui est sans défaut sera le gardien de mon chien
æãóä ßÇä ãäßã ØÈíÈÇð ÃõÚíøöäå ÓÇÆÓÇð áÍÕÇäí ÇáÌÏíÏ
Et celui qui sait soigner tiendra la bride de mon nouveau cheval
æãóä ßÇä ãäßã ÃÏíÈÇð ÃõÚíøöäå ÍÇãáÇð áÇÊÌÇå ÇáäÔíÏ
Et celui qui sait écrire ouvrira le chemin de l’hymne
æãóä ßÇä ãäßã ÍßíãÇð ÃõÚíøöäå ãÓÊÔÇÑÇð áÕß ÇáäÞæÏ
Et celui qui sait juger deviendra contrôleur de la monnaie
æãóä ßÇä ãäßã æÓíãÇð ÃõÚíøöäå ÍÇÌÈÇð ááÝÖÇÆÍ
Et celui qui est bien fait sera préposé aux scandales
æãóä ßÇä ãäßã ÞæíÇð ÃõÚíøöäå äÇÆÈÇð ááãÏÇÆÍ
Et celui qui est robuste sera le délégué aux éloges
æãóä ßÇä ãäßã ÈáÇ ÐåÈò¡ Ãæ áÂáÆ ÝáíäÕÑÝ
Et celui qui n’a ni´-or-ni perle, celui-là qu’il disparaisse !
æãóä ßÇä ãäßã ÈáÇ ÖÌÑ æãæÇåÈ ÝáíäÕÑÝ
Et celui qui ne connaît ni l’ennui ni le talent, celui-là qu’il disparaisse !
ÝáÇ æÞÊ ÚäÏì ááÞãÍ æÇáßÏÍ æáÃÚÊÑÝ
Je n’ai de temps ni pour le blé, ni pour le labeur, et sache
íÇ ÔÚÈí ÇáãäÊÞóì ÈíÏìøó
Ô-;- mon peuple, mon peuple choisi de mes propres mains
ÈÃäí ÃäÇ ÇáÍÇßã ÇáÚÇÏá
Que je suis le Bon Maître
ÃäÇ ÇáÍÇßã ÇáãÊÓÇãÍ æÇáÚÇÏá
Je suis le maître clément et juste
ßÑåÊ ÌãíÚ ÇáØÛÇÉ áÃä ÇáØÛÇÉ íÓæÓæä ÔÚÈÇð ãä ÇáÌåáÉ
J’ai pris en haine les tyrans car ils sont à la tête de peuples d’ignorants
æãä ÃÌá Ãä íäåÖ ÇáÚÏá ÝæÞ ÇáÐßÇÁ ÇáãÚÇÕÑ áÇ ÈÏ ãä
Pour que la justice se lève en ces temps subtils, il faut
ÈÑáãÇä ÌÏíÏ¡ æãä ÃÓÆáÉ
Un nouveau parlement, et des questions
æãäåÇ ãä ÇáÔÚÈ¡ íÇ ÔÚÈ¡ åá ßá ßÇÆä
Ainsi : qui est le peuple, cher peuple ? N’importe qui
íõÓãì ãæÇØä¿
peut-il être qualifié de « citoyen » ?
ÊõÑì åá íáíÞ Èãä åæ ãËáí Ãä íÞæÏ áÕÇ æÃÚãì æÌÇåáÇ¿
À-;- ton avis, est-il convenable qu’une personne comme moi commande voleurs, aveugles et ignorants ?
æåá ÊÞÈáæä áÓíÏßã Ãä íõÓÇæí ãÇ Èíäßã ÃíåÇ ÇáäÈáÇÁ
Acceptez-vous que votre maître vous traite, vous les nobles,
æÈíä ÇáÑÚÇÚ¿ ÇáíÊÇãì¿ ÇáÃÑÇãá¿
Comme la racaille ? Les orphelins ? Les veuves ?
æåá íÊÓÇæì åÐÇ ÇáÝíáÓæÝ ãÚ ÇáãÊÓæá¿ åá íÐåÈÇä Åáì
Et que ce philosophe et le mendiant soient sur un pied d’égalité ? Iront-ils…
ÇáÇÞÊÑÇÚ ãÚÇð ßí íÞæÏÇáÚæÇã ÓíÇÓÉ åÐÇ ÇáæØä¿
Voter ensemble pour que la plèbe gouverne la politique de cette nation ?
æåã ÃÛáÈíÊßã ÃíåÇ ÇáÔÚÈ¡ åã ÚÏÏñ áÇ áÒæã áå Åä ÃÑÏÊã
Car ils sont la majorité, ô peuple, et nul besoin d’un tel nombre si vous voulez
äÙÇãÇð ÌÏíÏÇð áãäÚ ÇáÝÊä
Un nouveau régime pour prévenir la discorde
ÓÃÎÊÇÑ ÃÝÑÇÏ ÔÚÈí
Je choisirai donc les personnes de mon peuple
ÓÃÎÊÇÑßã æÇÍÏÇð æÇÍÏÇð ßì ÊßæäæÇ
Je vous choisirai, un à un, afin que vous soyez…
ÌÏíÑíä Èì¡ æÃßæä ÌÏíÑÇð Èßã
Dignes de moi, et que je sois digne de vous
ÓÃãäÍßã ßá ÇáÍÞæÞ
Je vous accorderai tous les droits
ÓÃãäÍßã ÍÞ Ãä ÊÎÏãæäí
Je vous accorderai le droit de me servir
æÃä ÊÑÝÚæÇ ÕõæóÑí ÝæÞ ÌÏÑÇäßã
De dresser mon portrait haut sur les murs
ÝåÐÇ ÍÞ áßã
Car tel est votre droit
æãä ÍÞßã Ãä ÊÔßÑæäí áÃäí ÑÖíÊ Èßã ÃãÉ áí
Il est de votre droit de me remercier de bien vous vouloir comme nation
æãä ÍÞßã Ãä ÊÊãáæÇ ãáÇãÍ æÌåí Ýì ßá ÚÇã ÌÏíÏ
Il est de votre droit de vous délecter des traits de mon visage, à chaque an nouveau
ÓÃãäÍßã ßá ÍÞ ÊÑíÏæäå
Je vous accorderai tout droit que vous souhaitez
ÍÞ ÇáÈßÇÁ Úáì ãæÊ ßáÈ ÔÑíÏ
Le droit de pleurer la mort d’un chien errant
æÍÞ ÇáßáÇã Úä ÇáÓíÑÉ ÇáäÈæíÉ Ýì ßá ÚíÏ
Le droit d’évoquer l’exemple du prophète à chaque fête
æÍÞ ÇáÐåÇÈ Åáì ÇáÈÍÑ Ýì ßá íæã
Le droit d’aller à la mer tous les jours
áßõã Ãä ÊäÇãæÇ ßãÇ ÊÔÊåæä Úáì Ãí ÌäÈ ÊÑíÏæä äÇãæÇ
Le droit de dormir comme vous le souhaitez, de dormir du côté qu’il vous plaira
áßã ÍÞ Ãä ÊÍáãæÇ ÈÑÖÇí æÚØÝí
Vous avez le droit de rêver de me satisfaire, d’obtenir mes bonnes grâces
ÝáÇ ÊÝÒÚæÇ ãä ÃÍÏ
Ne craignez personne
ÓÃãäÍßã ÍÞøóßã Ýì ÇáåæÇÁ¡ æÍÞßã Ýì ÇáÖíÇÁ¡ æÍÞßã
Je vous accorderai votre droit à l’air, à la lumière
Ýí ÇáÛäÇÁ
au chant
ÓÃÈäí áßã ÌäÉ ÝæÞ ÃÑÖí ßõáæÇ ãÇ ÊÔÇÁæä ãä ØíÈÇÊí
Je vous construirai un paradis sur ma terre, mangez tout ce qui vous plaira de mes délices
æáÇ ÊÓãÚæÇ ãÇ íÞæá ãáæß ÇáØæÇÆÝ Úäí
N’écoutez pas ce que disent de moi les roitelets
æÃäí ÃÍÐÑßã ãä ÚÐÇÈ ÇáÍÓÏ
Je vous mets en garde contre les tourments de la jalousie
æáÇ ÊÏÎáæÇ Ýì ÇáÓíÇÓÉ ÅáÇ ÅÐÇ ÕÏÑ ÇáÃãÑ Úäí
Et ne vous mêlez pas de politique, sauf si l’ordre vient de moi
ÝÅä ÇáÓíÇÓÉ ÓÌäí
Car la politique est prison mienne
åäÇ ÇáÍßã ÔõæÑì¡ åäÇ ÇáÍßã ÔõæÑì
Ici, le gouvernement est concertation
ÃäÇ ÍÇßã ãõäÊÎóÈ
Je suis le -dir-igeant élu
æÃäÊã ÌãÇåíÑ ãõäÊÎöÈÉ
Et vous êtes les masses électorales
æãöä æÇÌÈ ÇáÔÚÈ Ãä íáãÓ ÇáÚÊÈÉ
Il appartient au peuple de quémander au seuil de la porte
æÃä íÊÍÑì ÇáÍÞíÞÉ ããä ÏÚÇå Åáíå¡ ÇÕØÝÇå¡ ÍãÇå ãä
De s’enquérir de la vérité auprès de celui qui l’a convié, qui l’a favorisé, qui l’a protégé…
ÇáÃÛáÈíÉ¡ æÇáÃÛáíÈÉ ãõÊÚöÈÉ ãõÊÚÈóÉ
De la majorité, et la majorité est fatigante et fatiguée
æãöä æÇÌÈ ÇáÔÚÈ Ãä íÊÈÑà ãä ßá ÝÑÏ äóåóÈ
Il est du devoir du peuple de renier celui qui aura pillé,
æÛÇÒá ÒæÌÉ ÕÇÍÈå¡ Ãæ Òäì¡ Ãæ ÛóÖÈ
qui aura courtisé la femme de son maître, qui aura commis l’adultère, qui se sera livré à la colère
æãöä æÇÌÈ ÇáÔÚÈ Ãä íÑÝÚ ÇáÃãÑ ááÍÇßã ÇáãõäÊÎóÈ
Il est du devoir du peuple de soumettre toute affaire à son -dir-igeant élu
æãä æÇÌÈí Ãä ÃæÇÝÞ¡ ãä æÇÌÈí Ãä ÃõÚÇÑöÖ
A moi d’accepter d’être d’accord ou de m’opposer
ÝÇáÃãÑ ÃãÑí¡ æÇáÚÏá ÚÏáí¡ æÇáÍÞ ãáß íÏìøó
La décision me revient, la justice est mienne, le droit m’appartient
ÝÅãÇ ÅÞÇáÊå ãä ÑÖÇí
Soit on est banni de mes faveurs
æÅãÇ ÅÍÇáÊå ááÓÑÇí
Soit on est traîné chez le gouverneur
ÝÍÞ ÇáÛóÖóÈ
Car le droit de se livrer à la colère
æÍÞ ÇáÑÖÇ¡ áí ÃäÇ ÇáÍÇßã ÇáãõäÊÎóÈ
Le droit d’être satisfait m’appartiennent, moi, le -dir-igeant élu
æÍÞ Çáåæì æÇáØóÑóÈ
Le droit à la passion, à l’ivresse du plaisir
áßã ßáßã¡ ÝÃäÊã ÌãÇåíÑ ãõäÊÎÈÉ
Sont vôtres, masses élues
ÃäÇ ÇáÍÇßã ÇáÍÑ æÇáÚÇÏá
Je suis le -dir-igeant, libre et juste
æÃäÊã ÌãÇåíÑí ÇáÍÑÉ ÇáÚÇÏáÉ
Et vous êtes les masses libres et justes
ÓääÔÆ ãäÐ ÇäÊÎÇÈí ÏæáÊäÇ ÇáÝÇÖáÉ
Nous créerons, avec mon élection, l’É-;-tat vertueux
æáÇ ÓÌä ÈÚÏ ÇäÊÎÇÈí¡ æáÇ ÔÚÑ Úä ÊÚÈ ÇáÞÇÝáÉ
Plus de prison après mon élection, plus de rimes rabâchées sur la lassitude des caravanes nomades
ÓÃõáÛí äÙÇã ÇáÚÞæÈÇÊ ãä ÏæáÊí¡ Ýãóä ÃÑÇÏ ÇáÊÃÝÝ¡ ÎÇÑÌ ÔÚÈí¡ ÝáíÊÃÝÝ
J’abolirai les châtiments -;- celui qui veut rouspéter hors de mon peuple, qu’il le fasse !
æãä ÔÇÁ Ãä íÊãÑÏ ÎÇÑÌ ÔÚÈí¡ ÝáíÊãÑÏ
Celui qui veut se révolter hors de mon peuple, qu’il le fasse !
ÓäÃÐä ááÛÇÖÈíä ÈÃä íÓÊÞíáæÇ ãä ÇáÔÚÈ¡ ÝÇáÔÚÈ ÍÑ
Nous consentirons à ceux qui sont en colère de démissionner du peuple, car le peuple est libre
æãä áíÓ ãäí æãä ÏæáÊí¡ Ýåæ ÍÑ
Il est libre, celui qui n’est pas de moi, et qui n’est pas de mon É-;-tat
ÓÃÎÊÇÑ ÃÝÑÇÏ ÔÚÈí¡ ÓÃÎÊÇÑßã æÇÍÏÇð æÇÍÏÇð
Je choisirai les personnes de mon peuple, je vous choisirai, un à un
ãÑÉ ßá ÎãÓ Óäíä
Une fois tous les cinq ans
æÃäÊã ÊÒßæääì ãÑÉ ßá ÚÔÑíä ÚÇãÇð ÅÐÇ áÒã ÇáÃãÑ¡ Ãæ ãÑÉ
Et vous me confirmerez une fois tous les vingt ans s’il le faut, ou bien une fois…
ááÃÈÏ
Pour l’éternité !
æÅä áã ÊÑíÏæÇ ÈÞÇÆí¡ áÇ ÓãÍ Çááå¡ ÅÐÇ ÔÆÊã Ãä íÒæá ÇáÈáÏ
Et si vous ne voulez pas que je reste – à Dieu ne plaise ! Si vous voulez la perte du pays
ÃÚÏÊ Åáì ÇáÔÚÈ ãÇ åÈø Ãæ ÏÈø ãä ÓÇÈÞ ÇáÔÚÈ ßí Ããáß
Je ramènerai le peuple à la populace d’avant pour me garder
ÇáÃßËÑíÉ¡ æÇáÃßËÑíÉ ÝæÖì
la majorité, et la majorité est anarchie faute de chef
ÃÊÑÖì¡ ÃÎì ÇáÔÚÈ! ÃÊÑÖì ÈåÐÇ ÇáãÕíÑ ÇáÍÞíÑ ÃÊÑÖì¿
Voudrais-tu, mon peuple mon frère, voudrais-tu d’un destin si lamentable ?
ãÚÇÐß
À-;- toi ne plaise !
ÝÞÏ ÇÎÊÑÊõ ÔÚÈí æÇÎÊÇÑäí ÇáÂä ÔÚÈí
J’ai choisi mon peuple et mon peuple m’a maintenant choisi
ÝÓíÑæÇ Åáì ÎÏãÊí Âãäíä
Vaquez en paix à mon service
ÃÐäÊ áßã Ãä ÊÎÑæÇ Úáì ÞÏãìøó ÓÇÌÏíä
Je vous permets de vous jeter à mes pieds
ÝØæÈì áßã¡ Ëã ØæÈì áäÇ ÃÌãÚíä
Heureux soyez-vous, heureux soyons-nous tous !
https://www.youtube.com/watch?v=ULcmCXmDYZE
La voie démocratique radicale progressiste avant –garde socialiste prolétaire révolutionnaire.
Abu el Mehdi ibn Asahara ibn Asahara ibn Abdel mati ibn el Hassan ibn Salah ibn Tahar Mohammed Mohamed Fakkak.
pour une révolution matriarcale culturelle clobale économique - sociale politique contre le régime patriarcal royal colonialiste




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